Monday, May 11, 2020

Chroniques de l'invisible - 127

L’équivalent a une même structure. Son terrain, au bord de l’imaginaire, où il pourrait sembler que tout dégénère alors qu’une grande partie non seulement régénère et invente ce qui n’existe nulle part d’autre que dans le corps textuel. Aux commandes, l’infini ou plutôt l’indéfini, la dimension aux multiples entrées n’apportant pas de réponse immédiate et préférant la prise en considération de l’immense complexité à l’intérieur de laquelle je choisis d’être l’unique maître d’œuvre. Peut-être ne se pose-t-on pas les bonnes questions durant ces grandes manœuvres, limités que nous sommes dans l’impossible avant et l’impossible après de notre unique vie. Peut-être n’y a-t-il pas de question à se poser, d’ailleurs. Juste à observer ce qui se passe, vivre l’intensité de ce qui se passe. Vouloir toujours se détourner du chemin sur lequel au contraire tout peut comme se révéler.

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