La santé du corps au service de l’esprit. S’en occuper n’est pas non plus renoncer. J’entends « au contraire ». Sauf qu’il s’est bien passé quelque chose. Ce n’est pas là-bas dans un pays étranger avec des étrangers. C’est ici avec le plus connu. Alors, je vais aider, aider encore. Chaque fois il sera plus facile de ne pas avoir à, de ne pas dépendre de, comme on fait tout de tout, une étiquette, ceci est mon corps, et on y passe tous, à la caisse, mais maintenant j’ai besoin de qualité et celle-ci se crée dans l’absolue nécessité, dès lors que c’est là, de toute chose et l’écoute de tout désir, y compris le silence, ne rien devoir à cette permanente sollicitation. Désormais que tout se travaille dans l’esprit et que je n’aurais besoin de tout cela que lorsqu’il s’agira d’atterrir, comme rendre visite à quelqu’un, on se prépare, on doit faire quelques concessions voire faire semblant, ce sera long, on ne peut pas partir au bout de cinq minutes, ou prévenir quelques secondes avant qu’on n’a plus envie de venir, domaine privé, on ne peut pas tout révéler, et puis ce qui est « vendu », tout vide, trop cher, tous les âges se soumettent, on attend, et ce qui fonctionne, c’est que la mise en scène déclenche ce qui n’aurait pas lieu autrement. Ce qu’on dit dans les vestiaires après s’être « battus », on ne le dit que là. Ou le trottoir. Ou la cuisine. Les conditions sont réunies. Cela donne le courage qui manquerait ailleurs. L’être fantastique apporte son aide. Il faudra continuer, de génération en génération. S’il y a des étapes ou des périodes, il n’y a pas d’arrêt. L’évidence s’interpose. Je la saisis. J’aurai cette volonté d’en améliorer ce que cela génère dans l’instant. Au fur et à mesure, je préciserai le contenu, plongeant dans les années à venir lorsque les phrases auront pris de la hauteur. J’aurais pu naître autrement mais c’est ce qui est arrivé. Mon image figée tant que rien ne décidera du contraire ou d’une différence. Dans ce tumulte d’origine, je veux y voir des formes de ce qu’a été d’entrer dans un domaine que je ne connaissais pas. Les facteurs étaient agissants sans que j’en mesure les conséquences.
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