Interpellation du temps. Au fond, jusqu’à la dernière minute, je retirais le repère chronologique qui m’avait aidé peut-être à composer ou plutôt, je retirais ce que je ne voulais pas prendre en compte, ce que je ne voulais pas qu’on prenne en compte, le début de l’étude. Une fois de plus, il serait tellement plus simple de nommer ce dont je parle. Refus intarissable d’une forme de parole lorsque justement seuls les figures parlent dans l’imaginaire. Forcément, je rattache à l’omniprésence, à l’absence, mais je n’accorde pas suffisamment de valeur à chaque élément. Cela change peut-être trop souvent. Deux n’ont pas varié depuis longtemps. Ce que j’appelle « l’aventure complète » et ce qui relie les jours entre eux. C’est là-dessus que quelque chose tient. Je m’acharne à vouloir relever. Je m’acharne surtout à vouloir révéler ce qui ne se dévoile justement pas.
---