C’est parfaitement cette sensation-là qu’il faut réussir à travailler. L’ennui, ou ce qui ressemble à l’ennui, de vivre en direct l’inaction dans un paysage déjà fragile. Cela ressemble à l’ennui parce que je ne sais plus quoi faire, comme si j’étais brutalement dépossédé de toutes mes capacités. Un lendemain de quelque chose, encore, que j’aimerais ne pas avoir à convoquer dans ce nouveau lieu, le nommer, donc, dans l’indéfini, pour créer à partir de cette unique volonté, le seul environnement que je souhaite voir exister. Je me rends bien compte que je ne fais que cela, en parler, l’évoquer.