Il se disait que cela ne servait à rien d’essayer de comprendre ce que signifiait l’insouciance de cet instant. Le rythme de la vie était pour lui comme une chanson qui tournait dans le vent. Il pensait à ce que pouvait être le climat de tension dans l’esprit d’un fils qui se serait cru sans père, alors qu’il pensait un peu benoîtement : « On a toujours un père. Même s’il est mort, on garde toujours une partie des défunts en soi ».