Un mouvement se prépare. Les pensées nettoient. Une priorité absolue, désormais, sera de ne plus se laisser envahir. Puisque les coïncidences ont permis que naisse une parole, si intense, si peuplée. Temps d’écoute. La crise monumentale est peut-être passée. Ce ne serait pas utile d’y revenir. Et pourtant, elle est là. Dans la paume des mains. Comme un froid permanent. Elle n’aurait fait qu’agir sur la manière de dire, changeant de format. La voilà donc, cernée. De toute part. Cohorte d’outils simples. Un principe pour chacun. Il n’y a rien d’autre à dire que de s’en servir. Ce qui apparaît est sous la forme d’une atmosphère émotionnelle. Points de fuite ou points de chute. On ne le saura que dans un mois, dans un an, dans dix ans. Nécessaire lecture de ce qui a eu lieu, maintenant, existant, la naissance d’une opération méditée, volontaire, dont il faudra se dessaisir.