Un nouvel agenda, se remplissant peu à peu, du plaisir, de la fonction du rôle de l’un et de l’autre, le mystère entier, comme se ferait une conversation, de la pensée, avec, toujours, cette douceur dans le regard, jusqu’à nous demander si nous aurions besoin, d’un renseignement, d’une information qui nous aurait manqué, à cause de cette inhérence, de vouloir tout expliquer, tout comprendre, en voyage, les mains posées, simplement, chaleureusement, pendant que les autres tergiversent, à ne plus rien prévoir, puisque rien n’est signé, puisque rien n’est réellement engagé, puisque les dates ne correspondent plus, que les manières de faire ne se croisent plus, pendant ce temps, once upon a time, le conte, éveillé, différent de la première fois, de la seconde, de toutes les autres, parce que le reflet est permanent, que du temps va continuer de passer, nous éloignant des hontes, des faussetés, tout, oui, tout, renversé, inversé, en circulation de ce que nous avons créé, décidé, ensemble, derrière les grandes baies vitrées, l’époustouflante étendue, la nature déchaînée, comme si nous y étions, toujours, répétées, des journées entières, pour seulement quelques instants séparés, si courts qu’ils n’existent plus, qu’ils n’empêchent plus, qu’ils ne subtilisent plus, les effets du bonheur, parfums fleuris, sauvages, pour avoir accepté que nous ne saurons jamais comment naissent ces sensibilités ressenties quand, grâce au hasard, grâce à la disponibilité que nous avions, chacun de notre côté, dégagée, nous nous sommes rencontrés.