Communauté de masques sur laquelle se fonde une théorie du mal, comme une partie d’échec, plaçant les pions dans une bataille virtuelle, intégrant l’invasion machiavélique du délire, l’esprit aimanté par le divertissement, chacun dans sa case, petit soldat d’une dictature, à croire que tout est vrai, que tout est faux, les mêmes images servant de justification pour attiser la haine, nourrir la nécessité criminelle au sein de l’humanité des corps, voyant s’incarner le regard pervers, l’allusion salace, l’arrogance puissante de l’enfant-roi qui veut dicter, qui, déjà, veut tuer, conçu dans la perpétuation qu’il y aurait un meilleur, un plus malin qui agira, lui contre tous les autres, dynamique inversée de la sagesse quand toutes les confusions altèrent le sens au point de le rendre inconsistant.